« Haïkus »

De courts poèmes aux racines de la musique…

Olivier Py : saxophones, compositions
Jean-Philippe Morel : contrebasse
Franck Vaillant : batterie

Un jazz de l’instant présent, essentiel et actuel.

Après les 2 albums « Birds of Paradise » (Choc Jazzmagazine, Elu Citizenjazz, Selection Jazznews), le trio de complices de longue date que forme Olivier Py avec Jean-Philippe Morel et Franck Vaillant revient pour un nouveau répertoire autour de courts poêmes : des « Haïkus ». Le haïku, poème court japonais, se fait l’écho de l’expérience immédiate de la beauté des choses et de l’instant.

Etirer la structure des mots pour qu’ils deviennent musique : les compositions d’Olivier Py sont ici issues des textes eux-mêmes, autant de leurs évocations que de leurs codes internes. Car un texte est un faisceau de sens, mais aussi une matière faite de nombres et de rapports de proportions. Ce travail sur les mots est ici au cœur de la composition, comme une possible alchimie de la musique, comme un fil vivant entre la matière même et son essence.

Et, comme le haïku qui est une attention au sentiment intime des choses, ce répertoire naît aussi d’une envie – d’un besoin – d’essentiel, auquel la musique elle-même ne semble pas échapper.

Short poems at the roots of music…

Jazz of the present moment, essential and contemporary.

After the 2 albums “Birds of Paradise” (Choc Jazzmagazine, Elu Citizenjazz, Selection Jazznews), the trio of long-time accomplices formed by Olivier Py with Jean-Philippe Morel and Franck Vaillant returns for a new repertoire based on short poems: “Haikus”. The haiku, a short Japanese poem, echoes the immediate experience of the moment and of the beauty of things.
Stretching the structure of words to music : Olivier Py’s compositions here come from the texts themselves, from their subjective evocations as much as from their internal codes. Because a text is a bundle of meaning, but also a material made of numbers, relationships and proportions.
This work on words is at the heart of the composition process here, like a possible alchemy of music, like a living thread between matter and its essence.

And, like haiku which is a deep attention to the intimate feeling of things, this repertoire is also born from a desire – a need – for the essential, even in the music itself.